Quelles solutions pour le pont de la Jonction ? Compte-rendu du forum du 12 juin 2019

  • , actualisé le
  • par Nicolas

 Commentaires recueillis lors du sondage

 1) Garder la barrière actuelle (1m55) ?

(54 commentaires)

  • La barrière aurait dû être faite à la fois pour éviter les suicides et à la fois préserver la vue imprenable, une des plus belles de Genève...
  • Franchement je préfère la protection à la vision panoramique. On voit très bien entre les barreaux. On a vraiment des soucis de riches.... ça ne doit pas être donné ce genre de transformations...
  • Effet stroboscope.
  • Les promeneurs n’ont pas l’air malheureux devant cette barrière et continuent à regarder la vue. La prévention des suicides est un objectif à respecter
  • Ce garde-fou est un peu trop haut, mais en l’état il est un magnifique instrument de musique que j’aime caresser lorsque j’emprunte le pont.... Les enfant adorent aussi... Si des fenêtres devaient être créées je proposerai à un musicien de participer au concept de manière à moduler les sons également à la manière d’une harpe... Peut-être qu’un "Cé qu’è lainô " pourrait surgir par surprise si l’on joue de cette harpe dans le bon sens...Totalement inadaptée. Trop haute. Les barreaux sont en outre beaucoup trop larges. Une barrière d’ingénieur en fait, sans égard au lieu.
  • L’important c’est l’unité, car poser des modules différents... ça et là... de manière aléatoire... n’apporte rien. Ou alors faire toute la barrière avec les plus petites fenêtres... mais à travers lesquelles on ne puisse pas passer évidemment, ni un enfant... et puis beaucoup de bruit pour pas grand chose...
  • Effet prison. À fortiori pour les enfants et personnes en fauteuil roulant / avec handicap
  • Inutile, car en face, il y a comme un marche-pied qui permet de sauter la barrière pour arriver sur la voie ferrée (et se jeter sous le train) et aussi atteindre l’autre barrière qu’on peut enjamber aisément pour sauter à l’eau... Celui qui veut en finir saura bien voir ces portes de sortie...
  • La barrière est trop haute. Elle empêche de jouir correctement d’un des plus beau et particuliers panorama. En effet, pouvoir observer de manière aérienne la jonction de deux types de cours d’eau différents (fleuve, rivière) est très rare au niveau mondial.
  • C’est fait, c’est fait ! On voit au travers, donc moi ça me va. Arrêtez de vous prendre la tête et occupez-vous de ce qui est VRAIMENT IMPORTANT, et surtout réfléchissez avant de décider. Merci.

Suite des commentaires sur la proposition n° 1

  • Trop haut pour les personnes de tailles moyennes ne pouvant pas apprécier la vue.
  • Pour des questions de sécurité et d’économie.
  • À la rigueur pourquoi pas.
  • Dénature la vue exceptionnelle de l’endroit.
  • Je suis 160 cm. 155 est trop haut pour moi ! La barrière pouvait être un peu bas pour les enfants.
  • Elles sont horribles et leurs effets contre des potentiels suicides sont plus que questionables (il y a des trains qui passent de l’autre côté si jamais, et l’autre côté du viaduc est facilement accessible... Il vaut mieux se rendre sur place plutôt que faire des théories farfelues depuis son bureau parfois).
  • La vue est complètement bouchée
  • Si j’ai bien compris l’intention, il s’agit d’une mesure anti-suicide.
  • Ça gâche la vue.
  • Moche.
  • Comme j’ai la chance de voir au-dessus de la barrière cette solution permet à tout le monde de mieux voir et de faire des photos sans contraintes.
  • Surtout pas ! Cette barrière est inutile. Si quelqu’un veut vraiment sauter par dessus, il trouvera le moyen de le faire. Ou il ira ailleurs…
  • Pas esthétique.
  • Trop haute par rapport aux yeux pour apprécier correctement le paysage (Je mesure 1 m 75)
  • On ne voit plus la vue quand on fait moins d’un mètre 70...
  • La question du coût doit être prise en compte. Les barrières actuelles sont loin d’êtres rédhibitoires.
  • Cette barrière est finalement pas mal, bon moi qui suis grand, je passe mon regard au dessus, par contre je m’inquiète pour les tout petits (enfants) qui pourraient passer à travers les barreaux.
  • Visibilité nulle pour petites personnes, trop massive, aucune vue latérale
  • Excellent.
  • Une vraie prison...
  • Une horreur, gâche la vue et est inutile. Qui veut se suicider, peut le faire sous un train ou en sautant depuis l’autre côté du pont.
  • Je trouve les barrières actuelles pas spécialement choquantes.
  • Remettre barrière classique. Hypocrite comme au Pont Butin, si on veut se suicider on va ailleurs. Plutôt se demander pourquoi les gens le font mais plus dur, hein... Pression travail, pression UE, etc.
  • Une hérésie architecturale !
  • Elle est très bien.
  • De mon point de vue, les aspects sécuritaires et le sens de l’autre ne devraient pas étouffer l’esthétique d’une ville.
  • On perd toute la vue !
  • Par sécurité. Personnellement je fais 1.86, donc je suis bien au-dessus et ça me gêne pas, par contre pas tout le monde est si grand et il y a des enfants qui passent régulièrement.
  • Une honte.
  • C’est froid, c’est moche, c’est sans âme, cette barrière si haute "gâche" un paysage magnifique !
  • Une question de sécurité évidente…
  • les personnes de toutes tailles doivent pouvoir admirer le paysage
  • On se croirait en prison, ça me donne des idées suicidaires...
  • Trop haut.
  • Trop haut pour la vue.
  • Pour une réalisation de cette envergure il aurait fallu faire un test sur quelques mètres avant.
  • Il faut absolument garantir les vues sur le grand paysage et la ville à tout le monde et de manière dégagée
  • Aménager avec les ’’fenêtres’’ proposées.
  • Un suicidaire trouvera toujours moyen de mettre fin à ses jours ! Ici ou ailleurs !
  • Sentiment d’anxiété en regardant à travers cette barrière et en la regardant dans son ensemble !
  • La prévention du suicide prime sur toute autre considération.
  • On va pas tout refaire.
  • Ou seulement aux extrémités du pont.
  • Les barreaux rapprochés et larges impactent la vue à la manière d’un mur lorsque l’on ne se trouve pas en face des barreaux.

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 2) Placer dans la barrière actuelle quelques modules (nombre encore à définir) avec 6 fenêtres (prototype A) ?

(43 commentaires)

  • A condition de changer au moins 1 module sur 2.
  • Ne change pas grand chose.
  • Bon compromis.
  • C’est par ces trous, que la Ville nous donne la gamelle ? Nous pauvres prisonniers épris de liberté et que l’on enferme dehors ?
  • Nous rendre la vue telle qu’elle était avant la pose de ces barrières imbéciles.
  • Il faut placer de tels modules sur toute la longueur du pont.
  • Joli compromis pour maintenir une sécurité adéquate, tout en "contentant" les contemplatifs.

Suite des commentaires sur la proposition n° 2

  • Je préfère de loin le prototype B.
  • Je suis contre ces barrières, trop hautes.
  • Par contre uniquement une seule et grande fenêtre.
  • Quid des enfants ?
  • Mais immonde, sans grand intérêt.
  • Mais bien davantage que 3-4 modules.
  • Déjà mieux .
  • Mon choix est le prototype B : modules avec trois fenêtres.
  • La vue est toujours très entravée. Cette barrière est inutile. Si quelqu’un veut vraiment sauter par dessus, il trouvera le moyen de le faire.
  • Pas si jolis, utilités ? Pourquoi n’avoir pas pensé la chose à la conception et ainsi éviter bien des pertes financières ?
  • Bonne idée mais pas encore au point.
  • Alternative intéressante permettant de garder la sécurité des 1 m 55 de hauteur.
  • Vie trop restreinte, toujours pas le top.
  • Trop serré.
  • Solution toujours insatisfaisante, visibilité latérale toujours nulle sauf de face,
    barreaux trop larges (prendre exemple sur le pont Butin !
    Fenêtres trop nombreuses et petites.
  • Très bien.
  • Toujours des barreaux de prison…
  • Tant que leur taille respecte les consignes de sécurité. Les fenêtres me semblent assez grandes pour laisser passer une personne.
  • C’est du bricolage.
  • Pas quelques uns, traiter toute la barrière de manière identique.
  • Effet prison. À fortiori pour les enfants et personnes en fauteuil roulant / avec handicap. Fenêtres uniformément trop hautes.
  • Si cette vilaine barrière doit tout de même rester, au moins quelques ouvertures pour admirer la vue et prendre des photos…
  • Cette option ou la suivante, avec des fenêtres plus grandes, est très bien. Je viens de Berthoud en Suisse allemande, et de telles fenêtres ont été placées dans le mur qui sépare le Lido de la rivière : les premières fenêtres étaient en verre (très classe mais elles ont été successivement vandalisées), de simples grilles évitent ce problème.
  • C’est déjà mieux que la situation actuelle.
  • Pour les mêmes raisons citées précédemment dans la question N°1. Sans compter que cette solution n’enlève en rien le sentiment d’oppression créé par les trop larges barreaux et leur faible distance entre eux.
  • Au secours !!!
  • Acceptable, mais minimum la moitié des modules doivent avoir le fenêtres, idéalement tous.
  • Espaces irréguliers, moche.
  • Pas envie de prendre encore de l’argent sur nos impôts pour faire cela. C’est fait, c’est fait ! On voit au travers, donc moi ça me va. Arrêtez de vous prendre la tête et occupez-vous de ce qui est VRAIMENT IMPORTANT, et surtout réfléchissez avant de décider. Merci.
  • Ce "cadrage" ciblé demeure un cadrage justement et contraint le champ de vision.
  • Fenêtre trop petite.
  • On dirait des meurtrières, ce qui augmente la sensation de prison.
  • Pourquoi pas si cela peut calmer les opposants à cette barrière et si nous pouvons ainsi passer à autre chose.
  • Sur une plus grande longueur.
  • Ce prototype constitue une nette amélioration par rapport à la barrière d’origine. La suppression de certains barreaux au haut de la barrière améliore la vue de face sur le paysage.
    Le fait d’avoir diminué de moitié la largeur des barreaux résiduels en haut de barrière permet de moins impacter la vue latéralement. L’impact visuel de ces modules reste assez important, surtout en bas de barrière.
    La barre supérieure à 1,55 m. reste assez pénible pour la vue. S’il y avait moyen de l’abaisser d’une quinzaine de centimètres sans que cela prétérite trop la sécurité, cela me semblerait bienvenu. Mais cela dépend bien sûr de ma propre taille et d’autres personnes seront peut-être d’un autre avis.

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 3) Placer dans la barrière actuelle quelques modules (nombre encore à définir) avec 3 fenêtres (prototype B) ?

(48 commentaires)

  • La visibilité est meilleure, mais cette barrière est encore plus inutile, car on peut se glisser à travers l’ouverture.
  • Peut être moins de sécurité que la version 2 mais c’est un bon compromis.
  • Plus classique que les 6 cases mais plus efficace en terme d’ouverture !
  • Solution acceptable mais ne règle toujours pas la vision de biais.
  • C’est la proposition la plus absurde si le but est la prévention du suicide ! Remettre de telles ouvertures, où une personne pourrait sans problème passer à travers, réduit à néant tout le principe du reste de la barrière !
  • C’est fait, c’est fait ! On voit au travers, donc moi ça me va. Arrêtez de vous prendre la tête et occupez-vous de ce qui est VRAIMENT IMPORTANT, et surtout réfléchissez avant de décider. Merci. Pour le reste, commencez aussi à avoir le courage de dire : c’est comme ça, il y aura toujours de contents, des pas contents… Apprenez la frustration.

Suite des commentaires sur la proposition n° 3

  • Je préfère cette solution au prototype A
  • Pas mieux...
  • Avec beaucoup des modules remplacés par ce type. Plus de la moitié, ou tous.
  • Mais minimum la moitié des modules doivent avoir les fenêtres, idéalement tous.
  • Un espace plein, un espace fenêtre.
  • Cette version est moins défavorable que celle à 6 cases, mais la limite à 1,55 m demeure et elle obstrue le champ de vision des personnes - très nombreuses et dont je fais partie - qui mesurent 1,70 mètres environ !
  • Option préférée.
  • On a un peu moins l’effet de meurtrières mais pourquoi ne pas rabaisser la barrière à 1m30 si on fait des fenêtres qui semblent être pénétrables.
  • Pas sûr que cette option soit sécurisante.
  • Ca a l’air mieux que le prototype A.
  • Le risque de passer à travers est grand.
  • Sur toute la longueur du pont.
  • A l’instar du prototype A, ce prototype apporte une amélioration visuelle par rapport à l’existant. Cependant, il semble possible de passer le corps à travers les fenêtres. Si le niveau de protection souhaité est celui évoqué lors de la première assemblée, alors ce module me semble offrir une sécurité moindre que celui du prototype A.

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 4) Abaisser à 1,30 m la barrière actuelle ?

(Proposition déposée par huit conseillers municipaux de la Ville de Genève, actuellement à l’étude au Conseil municipal)

(45 commentaires)

  • Pour des questions de coûts et de sécurité, il faut maintenir la hauteur actuelle.
  • Ajouter des ouvertures plus basses pour que les enfants puissent aussi regarder.
  • Compte tenu des passages en vélo il y a risque de passer par dessus en cas de pépin majeur.
  • S’il vous plaît, baissez cette barrière alibi (qui n’est utile qu’aux politiciens qui veulent se donner bonne conscience). Et rendez-nous la vue au ce magnifique coin de nature !
  • 25 cm qui feront vraiment la différence pour le confort des piétons (sentiment d’enfermement moins fort, ouverture sur le paysage plus grande.
  • Combien cela va-t-il coûter ?
  • Permettrait de voir par dessus sur toute la longueur du pont sans entrave. Pourrait être réalisée plus rapidement qu’une nouvelle étude.
  • Si on incitait les cyclistes à rouler côté voie ferrée - par exemple par une bande teintée sur la chaussée, on éviterait le risque d’un vélo passant par-dessus la barrière et on offrirait la vue à toutes et tous.

Suite des commentaires sur la proposition n° 4

  • Permettrait de retrouver une vue dégagée tout en amenant une certaine sécurité.
  • Quid des enfants ?
  • Mieux, et aux frais des idiots qui ont imaginé une barrière aussi haute au départ.
  • À voir si avec ça la vue sera disponible.
  • Avec une barrière de 1m30, j’aurais peur d’amener un enfant dans mes bras ou sur mes épaules. Il peut tomber s’il saute, ou si un vélo vient contre moi…
  • Moins dissuasive (suicide), mais doit-on protéger tout un chacun ?
  • Il est dès lors plus facile de franchir cette barrière.
  • Probablement cher pour changement pas bouleversant.
  • Mon choix est le prototype B : module avec 3 fenêtres.
  • Autant l’abaisser, autant remettre la belle barrière d’avant et à l’avenir réfléchir en amont plutôt que de corriger ex tunc.
  • Non question sécurité.
  • C’est pour des questions de sécurité que les barrières ont cette hauteur.
  • Peut-être dangereux.
  • Permet enfin d’avoir une vision panoramique sans entrave.
  • Non car il faut lutter contre les gens qui ont des vertiges.
  • Au minimum !!!
  • Trop cher pour ce que ça change
  • Le problème c’est la sécurité n’est-ce pas ?
  • Effet prison
    À fortiori pour les enfants et personnes en fauteuil roulant /avec handicap
  • Il n’y a pas de doute c’est bien la solution la plus esthétique.
    Si une personne décide de se suicider ce n’est pas une barrière de 300 mm plus élevée qui l’en empêchera.
  • Oui, c’est la solution la plus simple, à mon avis. (Je ne connais pas les contraintes techniques, évidemment)
  • Il faut l’abaisser à 1 mètre.
  • Laissez-nous au moins regarder par-dessus cette mocheté de barrière...
  • Quelle idée de revenir en arrière...
  • Enfin une vue rétablie pour (presque) tous. De toute façon, les personnes qui désirent se suicider auraient trouvé un autre moyen de le faire.
  • Il s’agit de retrouver une hauteur acceptable qui permet de jouir pendant toute la traversée du pont du panorama exceptionnel. En effet, pouvoir observer de manière aérienne la jonction de deux types de cours d’eau différent (fleuve, rivière) est très rare au niveau mondial !
  • Au maximum !!!
  • Pour profiter pleinement du lieu et de la vue.
  • Peut-être le moins onéreux si on peut conserver la barrière actuelle
  • Ne plus dépenser un centime pour cela. Merciiii
  • Cette solution a l’avantage de ne pas être anecdotique, d’offrir une vision dégagée de ce site unique et d’offrir une protection suffisante aux personnes qui empruntent ce passage. Il me semble d’ailleurs que la barrière précédente était plus basse.
  • Il faut trouver d’autres possibilités architecturales qui n’entravent pas la vue et ne sont pas anxiogènes (ce qui est franchement contre-productif si on souhaite un dispositif anti-suicide !)
  • Pas juste de démonter ce qui a été bien fait. Dans ce cas il faudrait faire payer les opposants. Ce n’est pas à nous de financer ces caprices de bobos !
  • Trop de temps, sûrement plus cher
  • Ça ne change pas grand chose car les gens veulent faire des selfies même si cela veut dire qu’il faut adopter un comportement dangereux. J’ai vu une personne passer de l’autre côté de la barrière du côté du train pour prendre son ami en photo.
  • Plutôt contre, car à première vue cela me semble très conséquent en termes de travaux de modification (découpe, soudure, etc.) Autant partir sur un projet neuf.

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 5) Reprendre la question à zéro pour imaginer un projet différent avec une barrière mieux étudiée ?

(55 commentaires)

  • Voir réponse 4 : l’argent du contribuable a été investi dans un projet et ce serait du gaspillage de dépenser de l’argent pour 1) Etudier un autre projet 2) Détruire l’actuel 3) Reconstruire le nouveau projet.
  • Protection au pied de la barrière pour les tout petits chiens (chihuahua, etc)
  • Ces barrières sont un vrai scandale. On enferme 400’000 habitants pour soi-disant sauver 1,5 personne par année (pont Butin), qui par ailleurs pourront se suicider devant un train... traumatisant le conducteur et des centaines de passagers. Il y a bien plus de morts sur le lac ou au Salève : on les supprime, OK ?
  • Un concept plus chaleureux serait sympa. Le béton et le métal industriel deviennent ‘has been‘.
  • Je pense que l’on peut moduler la barrière actuelle sans devoir tout reprendre.
  • Avec ou sans fenêtre, la barrière actuelle est inesthétique. Par ailleurs, il serait nécessaire de revoir aussi le revêtement de la voie piétonne et cycliste. Actuellement, on a l’impression d’être sur une route, par sur un cheminement de mobilité douce.
  • Mais je préférerais une baisse d’impôts...
  • Barrière en verre.
  • Ouvertures variées et plus "poétiques" (au moins arrondies, en formes d’oiseaux ? de vaches ? que sais-je ? Confiez le projet à de jeunes artistes, aux écoles ?) et à hauteur d’yeux de TOUS les usagers, bon sang !
    Et à 1m30 maximum, pour le bonheur de tous (réfléchir ensemble et autrement à la problématique du suicide).
  • Comment cette association Stop Suicide a-t-elle pu imposer un tel pouvoir de décision sur les modèles de barrières, que ce soit au Pont Butin (que je traverse chaque jour avec une impression carcérale...) ou là au Pont de la Jonction, en privant tous les promeneurs de la vue d’avant ? Si une personne a pris la décision de se suicider, elle pourra facilement passer par-dessus la barrière en face, en grimpant sur le muret, et attendre un train...
  • Difficile de faire plus moche. Cela vaut vraiment la peine de prendre le temps de repenser un des plus spectaculaires points de vue de la ville avec la sécurité voulue aujourd’hui. Le quartier de St-Jean est plutôt raté en matière de réaménagement ces dernières années. Rive droite oblige.
  • Trop long. L’étude prendrait des années !
  • La pesée d’intérêts devrait être reconduite car le rôle prééminent accordé à "Stop-suicide" est discutable. J’ai pu constater que de nombreux passants sur le pont sont interloqués par cette barrière qui oblitère la vue et donne le sentiment d’être en cage : la société zéro risque n’existe pas.

Suite des commentaires sur la proposition n° 5

  • Il aurait fallu commencer par là !
  • La barrière a été construite sur la base de différents arguments qui n’ont pour moi pas lieu d’être. Hauteur mal calculée, « design » de prison, beaucoup de choses sont à revoir pour préserver cet endroit magnifique tout en gardant une sécurité certaine.
  • C’est fait, c’est fait. Corrigez ça au mieux et arrêtez de bousiller encore plus de notre argent.
  • Il y a des problèmes plus graves dans le monde, et aussi en Suisse.
  • Si les concepteurs avaient mis des tubes de la même hauteur avec le même espacement mais rond (environ 1 cm de diamètre) cela n’aurait pas bouché la vue. Le Pont Butin est une même catastrophe.
  • Gâchis d’argent.
  • Espoir de qqch de carrément bien ?
  • Il aurait peut-être fallu y penser avant, non ?
  • Retour à une barrière telle qu’elle était avant.
  • En aucun cas tout refaire, ce sont nos impôts !!!
  • Des solutions sont présentées. Choisir une et passer à l’action.
  • Si le temps et l’argent le permettent... une étude supplémentaire ne peut pas faire de mal.
  • Encore des deniers publics à l’eau, qui pourraient servir pour des choses plus utiles et nécessaires.
  • Elle est tout simplement bien ainsi.
  • Si c’est moins coûteux que les autres solutions.
  • Barrière 1 m 30 ou normale.
  • Ce site mérite en effet un traitement architectural spécial.
  • Vraiment du temps à perdre, et de l’argent... aussi
    mais il est vrai que Genève a tant d’argent... qu’elle ne sait qu’en faire
  • Pensez aux personnes en situation de handicap /enfants :
  • réaliser une balustrade en verre, en plexiglas ou une partie transparente pour profiter de cette vue incroyable
  • Non, passons à autre chose.
  • Sans rire, mieux vaudrait encore aucune barrière !
  • Nos impôts ne servent pas à défaire, faire, refaire à l’infini...
  • Ce serait faire une montagne d’un grain de sable.
  • Le résultat des réflexions qui ont conduit à cette aberration (ne pas voir que cette haute barrière est voisine de deux autres parfaitement franchissable) me laisse croire qu’il n’est pas utile de remettre la compresse...
  • C’est une perte de temps inutile
  • Merci à ceux qui décident et qui savent mieux que les autres ce qui est bien pour eux...
  • Trop cher.
  • On met bien des vitres sur les ponts des trains (voir pont du Ceva à Carouge !) ; n’est pas possible de conjugueur celà sur le pont ferroviaire de St-jean ???
  • Je suggère que la barrière soit de 1,30. Sur celle-ci on placerait des barreaux verticaux pointus dont le coté amont serait égrenés de petits pointes de types punaises afin que la personnes suicidaire ne puisse prendre prise sans avoir très mal aux doigts voir, se coupe la peau...
    Ce système ne représente aucun un danger pour les promeneurs puisque ces pointes sont à l’extérieure et ne sont pas visibles de loin ni de près, si les pointes ont 0,5mm (aux spécialistes de déterminer la longueur minimale).
    Les barreaux peuvent être ronds. Ils peuvent être similaires à ceux qui sont souvent utilisés le long des propriétés, soit pleins et donc suffisamment solides pour recevoir un choc latéral d’un cycliste.
    D’ailleurs, si les autorités ont peur d’un procès elles peuvent stipuler que sur ce pont la vitesse des véhicules est limitée à 10 km/heure (le calcul de la vitesse maximale tolérée pour les véhicule revient aux spécialistes).
    Il est possible d’espacer les pointes de quelques centimètres et de créer des pointes de 1 à 2 centimètres afin d’empêcher la prise en main verticale et la pose d’un pied afin de compliquer au maximum la prise.
  • Une barrière qui soit plus jolie.
  • Soigner le mal en amont et rendre Genève plus humain. Que le gouvernement arrête de développer une économie dépassée qui ne profite qu’aux plus nantis. Ainsi les plus démunis et les plus désabusés n’auront plus envie de se suicider !
  • Hauteur et esthétisme.
  • Une barrière transparente ? ou peux-être des professionnels auront des propositions plus adéquates.
  • Oui, je suis sûre qu’un concours d’architecture pourrait permettre d’étudier la question de la sécurité sans négliger la question de la sauvegarde de l’une des plus belle vue de Genève !
  • Boboland !
  • Ce sera très bien avec des fenêtres, on va pas tout refaire.
  • Ou comme avant, mais je n’ai aucune idée du nombre de personnes qui se suicident sur ce pont car la barrière est basse.
  • Je propose que soit étudiée la possibilité de poser une barrière de verre Sécurit si possible sur toute la partie médiane. La hauteur resterait la même. Un financement participatif pourrait finir de convaincre nos autorités.
  • Absolument pour, mais en se donnant du temps pour ne pas jeter immédiatement les modules de l’actuelle barrière et voir dans quelle mesure ils pourraient répondre à d’autres besoins sécuritaires publics ou privés dans la région.
    Peut-être certaines industries ou organisations internationales ont-elles des besoins de sécuriser l’un ou l’autre de leurs sites.
    Je propose que soit lancé un appel d’offres pour le rachat à terme - par exemple dans 2 ans - des modules de barrières actuelles, en gardant un prix de réserve de sorte à en obtenir un prix correct. Le montant obtenu par la revente de ces barrières très solides, permettrait de réduire l’impact financier de nouvelles barrières possiblement moins onéreuses.
    Dans l’intervalle, la pose de 3 à 4 modules du prototype A pourrait offrir un bon compromis.

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 6) Propositions et autres commentaires

(50 commentaires)

  • Des vitres, des filets mais stop à l’emprisonnement de la population.
  • Avec tout le respect que nous devons à la souffrance des suicidaires et de leur proches, est il vraiment nécessaire de détruire la barrière initiale pour éviter un suicide . Une personne suicidaire trouvera toujours un autre moyen de mettre fin à ses jours ( cela arrive aussi à l’hôpital psychiatrique).
    J’étais, avec d’autres satisfaite et reconnaissante de disposer de cette vue sublime sur notre jonction et notre ville... Quel dommage !
    PS : géniale l’idée de demander la taille !
  • Il serait intéressant de lancer un concourt d’architecture pour des professionnels ou encore des étudiants genevois (hepia...)
  • L’idée de retravailler les barrières au niveau central est intéressant. Mais à voir également comment seront traitées les accroches de part et d’autre du pont, afin de créer un lien.
    Et je pense que les propositions de cadrage vont permettre de cadrer certaines vues, peut-être qu’il serait intéressant de rendre plus compréhensible cette volonté.
  • Ceux qui veulent voir au dessus, peuvent toujours prendre un petit tabouret, ce n’est pas très cher dans le commerce. Et arrêter de faire du foin pour si peu, ils y a des problème plus important que cela dans cette ville je pense.
  • Prendre exemple sur la barrière du pont Butin plus aérée (taille des barreaux).
  • Je suis pour une barrière qui permette au plus grand nombre de bénéficier de cette vue magnifique. La prévention du suicide ne passe pas par la destruction de sites exceptionnels mais par davantage de moyens financiers pour prendre en charge la détresse de certains de nos concitoyens.
  • Ces barrières sont un enfer pour les personnes migraineuses ou épileptiques. A chaque fois que je passe devant durant la journée je sens mon cerveau disjoncter, et nauséeux.
  • passant souvent ce pont, et ceci depuis bientôt 50 ans, j’ai été sidérée de voir cette barrière à la hauteur de mes yeux - je ne comprends pas qu’on puisse décider une chose pareille... une vraie Genferei, et ceci avec nos impôts...
  • Merci pour votre travail participatif pour améliorer la situation !
  • Il doit exister des modèles de barrières plus esthétiques que cela ! C’est des barreaux de prison... Référez-vous aux oeuvres des artisans d’autrefois, qui avaient le sens du beau !
    Un tel paysage mérite qu’on y réfléchisse et qu’on trouve une solution acceptable et acceptée. Ce n’est pas qu’un passage utilitaire entre le Bois de la Bâtie et Saint-Jean : tous ceux et celles qui le traversent s’arrêtent pour admirer la vue et méditer sur ces eaux qui se rejoignent... (PS : j’ai habité Saint-Jean durant 12 ans, puis la Bâtie jusqu’à ce jour).
  • En termes d’aménagements décoratifs, on peut faire beaucoup mieux qu’aujourd’hui. Ce n’est pas difficile, vu qu’il n’y a rien actuellement et que cette passerelle n’a aucune âme ni aucun caractère.
  • Remettre les barrières comme à l’origine...
  • Grâce à l’élargissement et aux barrières plus hautes, je traverse à nouveau ce viaduc avec plaisir, après l’avoir évité pendant plusieurs années. Merci donc pour ce réaménagement.
  • Merci de tenir compte de l’avis des usagers. Eventuellement prévoir l’une ou l’autre décoration sur la passerelle.
  • C’était mieux avant...
  • Égayer le pont avec quelques panneaux qui décrivent les bâtiments et les montagnes que l’on peut voir, ainsi que quelques photos d’époque de la jonction etc. Afin de rendre agréable le passage du pont qui est triste à mourir si l’on ne regarde que le pont devant soi.
  • Râler et surtout ne rien faire ! On est à Genève ou bien !?
  • Les voies vertes doivent conjuguer vélos et piétons et offrir un confort légitime à tous les usagers. Elles constituent désormais de grandes promenades, alternatives à la ville dense, car proposant un rapport nature-urbanisation de qualité. Les vues sur le grand paysage sont donc un élément ESSENTIEL de ces parcours. Il faudrait mieux valoriser celle empruntant le viaduc ferroviaire, notamment en lien avec le projet de réaffectation du Bois de la Bâtie. G. Brera, l’architecte qui a réalisé la station de pompage de St-Jean, avait prévu sur le toit de cette dernière un restaurant-belvédère - avec une piscine ... - et il serait opportun de reconsidérer cette option en vue de réhabiliter et de profiter de ce potentiel : pour une valorisation d’un équipement technique qui viendrait ponctuer et qualifier cette promenade (vue sur la pointe de la Jonction et le futur parc imprenable !)
  • Un gros pataques pour pas grand chose. Vaudrait mieux garder cette énergie pour faire un ascenseur à vélo du quai au pont ferroviaire, voire plus haut au niveau du bois de la Bâtie...

Suite des propositions et autres commentaires

  • Vitre transparente comme pour un aquarium.
  • Le fonctionnel et le sécuritaire sont certes deux éléments à prendre en compte dans les aménagements mais ils ne doivent pas prendre le dessus sur tout le reste. Ce qui est le cas ici.
    Comme souvent à Genève, il y a de très bonnes idées de départ mais on se perd dans les compromis à force de vouloir contenter tout le monde. On en arrive à des projets beaucoup moins forts qui se sont noyés en cours de route.
    Depuis quelques années, un mouvement général de revalorisation des espaces publics s’est lancé partout en Europe, Genève compris. Il serait dommage de manquer cette occasion et plus judicieux d’apprendre des erreurs des décennies passées en prenant davantage le temps d’étudier les projets en amont. La beauté de notre canton en vaut largement la peine.
  • Modifier toutes les barrières avec le module 2 (Ouverture large).
  • Alterner les ouvertures. Plusieurs de tailles et de formes différentes.
  • La Ville de Genève pourrait dépenser notre argent d’une meilleure manière qu’en remettant en cause ce projet.
  • La modification est une bonne initiative !
  • Les élus présents ne devront pas se faire rembourser des frais de repas ou de taxi.
  • Je pense qu’1 m 20 serait une bonne hauteur et dans l’idéal j’imagine une barrière plus étroite pour que les enfants puissent garder une vue panoramique.
  • Revenir à la situation d’avant cette rénovation ! Les personnes de l’autre côté du pont n’ont-elles pas aussi leur mot à dire ?
  • Une belle barrière ne nécessite pas forcément des barreaux plats. Ils peuvent onduler
  • Pas d’autres idées.
  • Oui on peut faire mieux pour voir par la barrière mais il faut que la protection antisuicide soit suffisante. Est-ce que les fenêtres proposées sont efficaces en ce sens ?
  • Merci beaucoup d’avoir rehaussé cette barrière.
  • les barres du pont Butin ne sont pas si mal !
  • C’est du nivellement par le bas, encore...
  • Le processus par lequel a été prise la décision de poser ces barrières est hautement discutable. Combien de personnes sautent depuis ce pont ou depuis le pont Butin ? Combien ont été dissuadées de se suicider depuis cette installation ?
    Les auteurs de cette "réussite", rien de plus qu’un groupe qui voulait faire parler de lui et qui a eu l’oreille d’un magistrat qui poursuit les mêmes objectifs.
  • C’était parfait avant la nouvelle barrière...
  • Imaginer une vague, une forme qui trancherait avec le côté très rectiligne de la surface du pont (le pont, vu depuis le bas est magnifique !) et de sa barrière.
  • Bonne journée à vous.
  • Une partie en verre ou en plexiglas permettant d’admirer cette vue incroyable !
  • Encore une fois l’Etat avec sa vision 0 morts limite les libertés individuelles, infantilise la population et empêche la majorité de la population de vivre heureuse. La mort est la finalité de la vie n’en déplaise à certain.
  • Marre de votre société du risque zéro.
  • J’apprécie particulièrement l’aménagement plus sécuritaire des deux ponts (Jonction et Butin). Dans la vie, on ne peut pas tout avoir... Sécuriser un pont comporte certaines contraintes... Franchement, je trouve que concernant les deux ponts du quartier (Jonction et Butin) les contraintes ont été minimisées et sont parfaitement acceptables. Et ce, malgré mon petit 1 m 60 de taille ne me permet pas de voir "au dessus"...
  • J’apprécie beaucoup ce manière participative pour améliorer la situation actuelle.
  • Vitrages (verres sécurisés avec espacements minimaux entre eux pour réduire la résistance au vent) du côté Jonction ! Ce garde-fou est un peu trop haut, mais en l’état il est un magnifique instrument de musique que j’aime caresser lorsque j’emprunte le pont.... Les enfant adore aussi... Si des fenêtres devaient être créées je proposerais à un musicien de participer au concept de manière à moduler les sons également à la manière d’une harpe... Peut-être que les notes d’un "Cé qu’è lainô " pourraient surgir par surprise si l’on joue de cette harpe dans le bon sens...
    Concernant mon avis sur cette sécurisation à outrance des espaces publics, je trouve cela malheureux de nous gâcher de magnifiques panoramas au motif que cela éviterait à certaines personnes de quitter notre "formidable" monde moderne. Je vous avouerais que comparer à l’horreur du pont Butin, ce garde-fou me semble plutôt anodin... C’est sur le pont Butin ( que je ne parcours plus volontiers à pied lors de mes escapades) que je me dit que ce monde ne tourne plus tout à fait rond...
  • Ce qui m’étonne c’est que la Ville fait, mais mal, sans consultation publique et ensuite il faudrait tout refaire … avec les deniers publics. Non mais de qui se moque t’on ?
  • Je répète : un suicidaire trouvera toujours moyen de mettre fin à ses jours. Ici ou ailleurs.
  • Pas d’autre proposition.

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Alain Dubois, qui présente ces commentaires, conclut en faisant remarquer que ce qui ressort, c’est que quelle que soit la solution que l’on préconise, il faut penser un projet, même si c’est juste pour installer des modules, afin de déterminer ce qu’on veut : quel nombre ? quels emplacements ? pour quel effet recherché ? La barrière actuelle est le signe d’un manque de projet. Dans tous les cas il faut prendre un temps de réflexion pour élaborer un projet.